Je suis convaincu d'une chose :
Nous avons toutes et tous quelque chose à apporter aux autres.
Mieux, même :
Nous avons BESOIN de nous sentir utile dans ce monde.
Depuis fin 2015 et mon CDI quitté pour mes PVT en Australie, j'ai pérénnisé un mode de vie alternatif, nomade.
Sans le savoir, j'entamais à l'époque mon introspection.
(bonne nouvelle pour toi, tu n'auras pas à prendre ce risque pour entamer la tienne).
Après 3 années et demie de backpacking, j'étais certain d'une chose :
Je ne retournerai pas à ce mode de vie "salarial" qui dictait mes journées.
Mes semaines.
Mes années.
Ma vie.
Qui m'obligeait même à "négocier" mes quelques semaines de liberté chaque année.
Même si ça signifiait un job bien payé, j'avais découvert une chose :
La vie, c'est bien PLUS que ça.
Ça fait désormais près de 5 années que j'entreprends.
Et mon projet actuel, qui consiste à encourager celles & ceux qui aspirent à plus d'indépendance, est bien différent de mon projet de départ.
Le mieux dans tout cela ?
Mon activité m'apporte au quotidien une sensation réelle de contribution.
Mais en plus de cela, elle s'intègre à notre (avec madame) projet global de vie.
Longtemps, comme toi peut-être, j'ai cru qu'il était "normal" de sacrifier une partie de sa vie.
Comme si c'était "obligatoire" pour "mériter" la vie qu'on souhaite vraiment.
Qu'elle soit nomade, à pouvoir lentement explorer le monde et se sentir libre..
Qu'elle soit paisible, pour pouvoir trouver son petit havre de paix où tu te sens bien.
Qu'elle soit indépendante, à ne plus dépendre d'un patron ou d'un système qui régit nos journées..
Alors que non.
La norme devrait être d'identifier nos qualités humaines,
nos centres d'intérêts innés,
nos qualités, connaissances et compétences innées,
Et en faire notre façon de contribuer au monde, tout en pouvant nous épanouir et nous accomplir dans notre vie quotidienne.